La Quête, désormais possible par Smartphone !
La paroisse reçoit essentiellement ses ressources de la quête dominicale. Le geste d’associer l’offrande, qui permet à l’Eglise locale de vivre, à la célébration de la messe remonte aux temps apostoliques. Celle-ci a connu dans le temps des formes diverses : dons en nature, et maintenant en monnaie.
Merci à tous pour ce geste habituel qui marque votre soutien à la paroisse !
Cependant, l’évolution des techniques tend aujourd’hui à faire évoluer les supports monétaires : le porte-monnaie traditionnel (pièces et billets) s’est adjoint d’un porte-monnaie électronique (diverses cartes, et aujourd’hui Internet qui offrent encore de nouvelles possibilités). Si nous comptons plus que jamais sur les dons « sonnants et trébuchants », il serait dommage de ne pas s’ouvrir également à de nouveaux modes de paiement. La paroisse reçoit aujourd’hui principalement de l’argent liquide, parfois des chèques.
Il est désormais possible, pour ceux qui le souhaitent, de donner également grâce à son smartphone.
. Cette nouvelle application vous permettra de donner à la quête en tout confort, en toute sécurité, de façon conforme aux pratiques de l’Eglise en la matière et quand vous voulez. (Avant, pendant ou après la Messe)
. En conclusion, soyez rassurés : rien ne change.
Chacun peut continuer à donner à la quête comme il l’entend. Il s’agit essentiellement d’une expérimentation, conduite dans plusieurs diocèses de France et dans plusieurs paroisses du diocèse de Versailles, proposée simplement à ceux qui le souhaitent…et qui possèdent un Smartphone.
Retour sur le rallye paroissial : et la brebis fut retrouvée !
Sous la houlette de notre berger, le Vexin est devenu terrain de jeux, d’aventures, d’observation
mais aussi et surtout de rencontres et d’amitiés pendant une journée entière pour un grand nombre
de paroissiens ! En famille ou entre amis, de 5 à 75 ans, chacun s’est mis avec ardeur à la recherche
de la brebis perdue.
16 équipes en concurrence pour battre la campagne à la recherche d’indices, se soumettre à des
épreuves physiques et sportives, repérer les points d’eau, percevoir le cri de la brebis au milieu de
tant d’autres cris, et oh ! Surprise trouver enfin l’œuf de la brebis !!
Et c’est finalement le soir, de retour à la maison paroissiale autour d’une raclette, toutes les équipes
ensemble réunissant leurs indices, que cette brebis perdue fut enfin retrouvée.
10 ans du Parcours Alpha le 28/11 : venez nombreux !
Les Dimanches de la Foi
1er Dimanche de la Foi, le dimanche 15 octobre 2017 : présentation de la nouvelle traduction du « Notre Père ».
LETTRE APOSTOLIQUE DIES DOMINI du Pape Jean-Paul II (extrait)
- Le jour du Seigneur — ainsi que fut désigné le dimanche dès les temps apostoliques (1) — a toujours été particulièrement honoré dans l’histoire de l’Église, à cause de son lien étroit avec le cœur même du mystère chrétien. En effet, dans le rythme hebdomadaire, le dimanche rappelle le jour de la résurrection du Christ. C’est la Pâque de la semaine, jour où l’on célèbre la victoire du Christ sur le péché et sur la mort, l’accomplissement de la première création en sa personne et le début de la « création nouvelle » (cf. 2 Co 5,17). C’est le jour où l’on évoque le premier jour du monde dans l’adoration et la reconnaissance, et c’est en même temps, dans l’espérance qui fait agir, la préfiguration du « dernier jour », où le Christ viendra dans la gloire (cf. Ac 1,11; 1 Thess 4,13-17) et qui verra la réalisation de « l’univers nouveau » (cf. Ap 21,5).L’exclamation du psalmiste : « Voici le jour que fit le Seigneur, pour nous allégresse et joie » (Ps 118 [117], 24) convient donc bien au dimanche. Cette invitation à la joie, reprise par la liturgie de Pâques, est marquée par la stupeur dont furent saisies les femmes qui avaient assisté à la crucifixion du Christ, quand, étant allées au tombeau « de grand matin, le premier jour après le sabbat » (Mc 16,2), elles le trouvèrent vide. C’est une invitation à revivre, en quelque sorte, l’expérience des deux disciples d’Emmaüs, qui sentirent « leur cœur tout brûlant au-dedans d’eux-mêmes », tandis que le Ressuscité les accompagnait sur le chemin, en leur expliquant les Écritures et en se révélant à « la fraction du pain » (cf. Lc 24,32.35). C’est l’écho de la joie, d’abord hésitante, puis irrésistible, qu’éprouvèrent les Apôtres au soir de ce même jour, lorsqu’ils eurent la visite de Jésus ressuscité et qu’ils reçurent le don de sa paix et de son Esprit (cf. Jn 20,19-23).
- La résurrection de Jésus est la donnée première sur laquelle repose la foi chrétienne (cf. 1 Co 15,14) : c’est une réalité stupéfiante, perçue en plénitude dans la lumière de la foi, mais attestée historiquement par ceux qui eurent le privilège de voir le Seigneur ressuscité ; c’est un événement merveilleux qui ne se détache pas seulement d’une manière absolument unique dans l’histoire des hommes, mais qui se place au centre du mystère du temps. Comme le rappelle en effet le rite de la préparation du cierge pascal, dans la liturgie expressive de la nuit de Pâques, c’est au Christ qu’« appartiennent le temps et les siècles ». C’est pourquoi, faisant mémoire du jour de la résurrection du Christ, non seulement une fois par an, mais tous les dimanches, l’Église entend montrer à chaque génération ce qui constitue l’axe porteur de l’histoire, auquel se rattachent le mystère des origines et celui de la destinée finale du monde.Il est donc légitime de dire, comme le suggère l’homélie d’un auteur du IVe siècle, que le « jour du Seigneur » est le « seigneur des jours »(2). Ceux qui ont reçu la grâce de croire au Seigneur ressuscité ne peuvent que percevoir la signification de ce jour hebdomadaire avec l’émotion vibrante qui faisait dire à saint Jérôme : « Le dimanche est le jour de la résurrection, le jour des chrétiens, c’est notre jour »(3). Il est en effet pour les chrétiens le « jour de fête primordial »(4), destiné non seulement à marquer le déroulement du temps, mais à en révéler le sens profond.
Pèlerinage des Mères de famille, le samedi 10 juin 2017
Cette année, le pèlerinage des mères de famille se déroulera le samedi 10 juin 2017, à partir de l’Église de Feucherolles.
Ce pèlerinage s’adresse à toutes les mères et futures mères de famille, désireuses de vivre ou revivre une journée de partage d’échange, accompagnées par le père Chevalier, dans la joie et la bienveillance.
Pèleriner, c’est faire l’expérience « extra-ordinaire » de laisser ses habitudes, son confort, de couper les cordons et les tablettes pour aller à l’essentiel.
Et pour l’enrichir :
- L’effort de la marche… mais supportable.
- La vie fraternelle et paroissiale, la joie du chant et de la louange.
- La lumière des enseignements.
- Suivi d’un dîner convivial préparé par l’équipe organisatrice.
Contact : Agnès SAMOY (06 19 07 15 57)
Mail : peledesmeres.bnlr@gmail.com
Cliquez ici pour télécharger le bulletin d’inscription et vous inscrire avant le 22 mai.
Les inscriptions se feront par ordre de demande, 40 au maximum.
Adressez votre bulletin, accompagné d’un chèque de 10 €, à Agnès SAMOY – 16, chemin de l’Érable – 78590 Noisy-le-Roi.
A très bientôt, dans la joie de vous rencontrer.
Mai, le mois « Marie » : chapelet tous les jours à la paroisse
Le mois de Mai, c’est le mois de Marie.
Un chapelet est proposé TOUS les jours pour prier et fêter Notre Dame durant tout le mois de mai
à 18h30 à St Lubin à Noisy (1/2 heure environ)
Pèlerinage des Pères de famille, du 30 juin au 2 juillet 2017
Le pèlerinage des Pères de famille, c’est 3 jours de marche et de prière, de ressourcement et de partage.
Inscrivez-vous vite !
Une réunion d’information aura lieu le Vendredi 9 Juin à 19h30 à la maison Paroissiale (Bailly) afin de répondre à toutes vos questions ou à celles de vos invités.
- Accueil : jeudi 29 juin dans la soirée Au Moulin de Vézelay
48 Grande Rue Hameau de Soeuvres 89450 Fontenay Près Vézelay - Co-voiturage organisé ou déplacement en voiture par vos propres moyens.
- Début du pèlerinage le vendredi 30 juin à 6h00
- Fin du Pèlerinage le dimanche 2 juillet vers 15h30 à Vézelay.
- Participation minimum de 40 € – Règlement en ligne sur www.lepotcommun.fr/pot/8dttwrjs
- Places limitées à 60 personnes, n’attendez pas pour vous inscrire…
- Contacts : Jérôme Gorge 06 61 55 70 38 & Patrice Lacroix 06 28 73 46 19 – pat.lacroix@orange.fr
Cette année, vous devrez directement régler par carte bancaire de manière totalement sécurisée.
Pour cela, cliquez sur le lien suivant : www.lepotcommun.fr/pot/8dttwrjs
Le bulletin d’inscription vous sera demandé le premier soir du pèlerinage, pas besoin de les envoyer par courrier ni par mail.
Dates à retenir pour le mois de mai
Mar. 2 14h30, réunion du MCR au pavillon, 5 route de la forêt
20h30, Conseil Pastoral
Mer 3 18h-20h, réconciliation 6ème et 5ème à saint Sulpice
Je 4 12h15, déjeuner table ouverte à la MP , chacun amène un plat pour 4 personnes
15h, messe aux jardins de Noisy
20h45, conférence « Comment la vierge de Fatima nous conduit au Christ ». Lancement de la neuvaine de prière.
Sa 6 Ateliers KT
Di 7 Journée mondiale des vocations
Lu 8 9h30, messe à Noisy
Mer 10 16h30, célébration de réconciliation des CM1 à Bailly
Sa 13 Atelier KT
11h, Invitation à une relecture spirituelle du parcours disciple et apéro à la maison paroissiale
18h, 1ère communions à Bailly
21h30 procession de ND de Fatima.
Dim 14 11h Bailly Messe en l’honneur de ND de Fatima animée par la communauté lusophone.
Mer 17 20h30, Réunion de préparation aux baptêmes à la maison paroissiale
Je 18 20h45, Formation « Ami de l’époux » à la maison paroissiale : Genèse, suite du déluge et tour de Babel
Sa 20 10h30, Eveil à la Foi à la maison paroissiale.
18h, 1ère communions à Bailly
Di 21 11h, 1ère communions à Noisy
Ma 30 20h45, « Goutez et voyez » à la maison paroissiale. Expérience d’écoute spirituelle autour du vin avec un jeune sommelier.
Merci de vous inscrire à perbenche@orange.fr (places limitées)
Pâques 2017 – Semaine Sainte
Peinture : Lavement des pieds, Ford Madox Brown (1821-1893), The Tate Gallery, London
Message du Pape François
Pour faire comprendre à ses disciples l’amour qui l’anime,
Jésus lave les pieds de ses disciples,
leur donnant une fois encore, en personne,
l’exemple de la façon dont ils doivent eux-mêmes agir.
Horaires de la Semaine Sainte 2017
Samedi 8 avril
18h00 Messe des Rameaux à Bailly
Dimanche 9 avril
11h00 Messe des Rameaux à Noisy
Mardi 11 avril
20h00 Messe Chrismale à la cathédrale Saint-Louis de Versailles
Jeudi Saint, 13 avril
21h00 Sainte Cène à Bailly, suivie de l’adoration
Vendredi Saint, 14 avril
- 10h00 Chemin de croix aux jardins de Noisy, sacrement de réconciliation
- 15h00 Chemin de croix à Noisy et sacrement de réconciliation
- 15h00 Chemin de croix depuis Bailly dans la plaine (selon la météo)
- 21h00 Office de la Passion à Bailly.
Samedi Saint, 15 Avril
21h00 Vigile Pascale à Noisy
Dimanche de Pâques, 16 avril
- 09h30 Messe à Bailly
- 11h00 Messe à Noisy
Car c’est un exemple que je vous ai donné,
pour que vous fassiez vous aussi,
comme moi j’ai fait pour vous …
Sachant cela, heureux êtes-vous si vous le faites.
Évangile selon saint Jean 13
Carême en paroisse : Jeûner, Partager le pain et Prier
Nous vous proposons de prendre le temps de 5 jours de partage, du 5 au 10 mars, du pain, de jeûne (selon le désir et les possibilités de chacun), et de prière communautaire chaque soir.
Les tracts sont à votre disposition dans les églises et à renvoyer avant le 22 février.
Vous pouvez aussi consulter le tract et imprimer le bulletin d’inscription : 2017 Jeune paroissial carême bulletin d’inscription
Redécouvrir à travers mon corps l’unité de mon être fait pour le désir de Dieu.
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Prier en Carême aux intentions de toute la communauté paroissiale
et de l’Eglise universelle
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Donner plus de place au pain de la Parole de Dieu
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S’entraîner au combat spirituel
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Se laisser libérer pour la justice et la charité en union avec les chrétiens de Terre Sainte
Pourquoi jeûner en Carême ?
« De nos jours, la pratique du jeûne semble avoir perdu un peu de sa valeur spirituelle et, dans une culture marquée par la recherche du bien-être matériel, elle a plutôt pris la valeur d’une pratique thérapeutique pour le soin du corps. Le jeûne est sans nul doute utile au bien-être physique, mais pour les croyants il est en premier lieu une thérapie pour soigner tout ce qui les empêche de se conformer à la volonté de Dieu. Dans une constitution apostolique de 1966, Paul VI reconnaissait la nécessité de remettre le jeûne dans le contexte de l’appel de tout chrétien à ne plus vivre pour soi- même, mais pour celui qui l’a aimé et s’est donné pour lui, et aussi à vivre pour ses frères. Ce carême pourrait être l’occasion de reprendre les normes contenues dans cette constitution apostolique, et de remettre en valeur la signification authentique et permanente de l’antique pratique pénitentielle, capable de nous aider à mortifier notre égoïsme et à ouvrir nos cœurs à l’amour de Dieu et du prochain, premier et suprême commandement de la Loi nouvelle et résumé de tout l’Evangile.
En même temps, le jeûne nous aide à prendre conscience de la situation dans laquelle vivent tant de nos frères (…) En choisissant librement de se priver de quelque chose pour aider les autres, nous montrons de manière concrète que le prochain en difficulté ne nous est pas étranger. C’est précisément pour maintenir vivante cette attitude d’accueil et d’attention à l’égard de nos frères que j’encourage les paroisses et toutes les communautés à intensifier pendant le Carême la pratique du jeûne personnel et communautaire, en cultivant aussi l’écoute de la Parole de Dieu, la prière et l’aumône. » (Benoît XVI, message pour le Carême 2009)
Quelle est la proposition ?
Un groupe d’adultes s’entraide dans la pratique du jeûne monodiète (i.e qui comporte un seul aliment) pendant 6 jours consécutifs et porte ensemble dans la prière les grandes intentions de la communauté.
> Début de la démarche le dimanche 5 mars à 18h30 précises à l’église Saint-Sulpice de Bailly (prévoir 45 mn) : temps de prière d’entrée dans le jeûne.
Chaque jour (si possible) les participants se rejoignent à 20h précises à Saint-Sulpice de Bailly pour un temps de prière (chants, parole de Dieu et intercession).
Après la prière, nous nous dirigeons vers la maison paroissiale pour boire une tisane (à volonté !) et échanger simplement sur ce que nous vivons dans ce jeûne.
Chacun reçoit un pain complet de 600 g qui sert pour dîner avec la tisane … et pour se sustenter le lendemain matin et à midi avec de l’eau (à boire en quantité).
La rupture du jeûne se fait le vendredi 10 mars après la prière par un dîner simple et chaleureux à l’aumônerie, chemin des princes, à côté de la Maternelle Kergomar.
Il faut envisager une réalimentation progressive durant les jours suivants pour ne pas brusquer le corps, et pouvoir poursuivre sagement le chemin du carême.
Une proposition de don pour les chrétiens de Terre Sainte sera faite en sus de la légère participation aux frais.
Ceux qui ne souhaitent pas vivre l’expérience sur toute la semaine peuvent s’associer à celle-ci le mercredi (récupération du pain la veille lors de la prière). Il est évident que tous les paroissiens peuvent venir aux temps de prière même s’ils ne jeûnent pas.
Qui peut l’entreprendre ?
Toute personne en bon état de santé physique et psychique (hors grossesse et allaitement) et ne souffrant pas d’un manque de poids. Les personnes sous médicaments voudront bien consulter leur médecin traitant pour savoir si un jeûne est envisageable et comment suivre leur traitement durant cette période.
Il convient de se préparer par une alimentation équilibrée la veille du premier jeûne et de reprendre progressivement une alimentation normale. Notre corps a besoin qu’on le respecte.
Et les couples ? Et les mineurs ?
Il est possible d’entreprendre ce jeûne en couple : l’un des deux conjoints se rend à la veillée de prière et rapporte deux pains pour en donner un à celui qui, par exemple, est resté garder les enfants ! Les mineurs, de plus de 16 ans, doivent impérativement joindre une autorisation parentale à leur bulletin d’inscription.