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Face à la barbarie qui proclame agir au nom de Dieu, notre réponse de chrétien, disciple de celui qui a donné sa vie par amour de l’humanité, ne peut qu’être l’annonce plus vive encore du Dieu de vie, manifesté en Jésus Christ. Le Dieu créateur et sauveur ne peut être invoqué quand on prend la vie.

Plus vive doit être notre foi, plus vive notre espérance, plus vive notre charité.
Face au mensonge de la haine, nous devons proclamer par toute notre vie la vérité de l’Amour divin.

Ces humains qui se laissent déshumaniser par leur violence essayent de nous plonger dans les ténèbres, de nous faire douter de ce que nous sommes : des êtres fait pour la vie de communion !
Ils sèment la terreur ! faisons pousser la joie !
Ils sont dans une logique nihiliste ! Disons au monde que la vie a un sens !
Ils veulent nous enfermer ! soyons encore plus libres !
Ils versent le sang ! donnons le nôtre !

Je vous invite à oser proposer un sourire à tous ceux qui baissent la tête !
Je vous invite à renforce les liens de solidarité au milieu du monde.
Je vous invite partout où c’est possible à poser une lumière sur votre fenêtre ce Week-end.

Les dons constituent l’unique source de revenus de l’Eglise puisqu’elle ne reçoit aucune subvention de l’Etat. Donner à l’Eglise, c’est donc soutenir sa présence et son rôle dans la société et lui donner les moyens d’accomplir sa mission.

Tout au long de leur vie, l’Eglise accueille, écoute et accompagne humainement et spirituellement les hommes et les femmes qui le lui demandent, particulièrement dans les temps forts, heureux ou malheureux, où ils ont besoin de trouver du sens à ce qu’ils vivent.

Baptêmes, mariages, funérailles, catéchisme, visites des malades et des prisonniers, accueil des migrants, soutien aux personnes en difficultés, les tâches sont multiples. Pour accomplir cette mission, l’Eglise a besoin de ressources financières afin de faire vivre des prêtres, former des séminaristes, embaucher des laïcs, les former, entretenir les lieux de culte et de réunion.

Combien donner ?

C’est une libre participation annuelle des catholiques du diocèse. Chacun est invité à donner selon ses moyens et quels que soient ses revenus.

Tout don même faible compte.

Pour aider certains à établir un ordre de grandeur de cette contribution personnelle, on peut verser l’équivalent d’une ou deux journées de travail soit 1 à 2 %  de votre revenu.

66 % du montant de votre don est déductible de l’impôt sur le revenu (dans les limites de 20 % du revenu imposable). Par exemple : un don de  300 € ne vous coûte en réalité que 102 €.

Découvrez la vidéo rétrospective du pèlerinage des Etudiants en Terre Sainte de Juillet 2015.

Diocèses de Versailles, Amiens et Grenoble :

Chaque année, l’équipe du Secours catholique en lien avec l’Aumônerie de la prison de Bois d’Arcy, organise une «Opération cadeaux de Noël pour les enfants de prisonniers ».

Les papas incarcérés ont du mal dans certains cas à garder des liens avec leur famille et leurs enfants pour diverses raisons : circonstances et /ou raisons de leur incarcération, éloignement du domicile, prise de distance de la famille ….Il ne leur est pas possible non plus d’aller choisir en magasin un cadeau pour leur(s)enfant(s)bien sûr.

L’équipe sur place leur propose un choix de jeux ou autre ; ils sélectionnent un cadeau qu’il leur ferait plaisir d’offrir ( pour fille ou garçon et en fonction de l’âge des enfants). Il est ensuite fait appel dans les paroisses à ceux qui, se chargeant de faire le cadeau, permettent à ces pères de manifester à l’occasion de Noël l’amour qu’ils continuent à porter à leurs enfants.

Le témoignage de Bruno, membre de l’aumônerie, traduit l’immense bienfait de ce lien paternel qui peut ainsi se renouveler.

Quand je suis rentré ce matin dans la cellule de Pierre, je m’attendais à le voir renfrogné et triste, comme d’habitude. Au contraire, il m’a accueilli avec un immense sourire. « Venez voir ce que j’ai reçu ! ». Je savais que Pierre souffrait beaucoup que la « mère de son fils » ait choisi de complètement couper les ponts lorsqu’il a été interné, il n’avait de Kevin que 2 photos du temps où il était bébé. Et là, elle avait accepté le cadeau que le Secours Catholique avait envoyé en son nom et lui avait adressé 3 photos d’un garçon de bientôt 2 ans, dont une ou Kevin jouait avec ce fameux jouet, ainsi qu’un dessin malhabile « fait pour son papa ». Petit miracle de Noël !

Pierre n’écrira pas pour remercier, il a trop de mal à écrire, mais il m’a demandé de le faire pour lui.

Les correspondants de notre paroisse vous solliciteront pour participer à cette opération bien concrète à la sortie des messes des 7 et 8 novembre.

La fête de la Toussaint illumine le jour suivant, le 2 novembre : la commémoration de tous les fidèles défunts. Ce jour-là, en association avec tous les saints connus ou inconnus, l’Église prie particulièrement pour tous les défunts dans l’espérance de la vie éternelle.
Vous trouverez quelques éléments sur ce que l’Église célèbre ce jour-là et comment l’honorer.

Article issu de  : http://www.paris.catholique.fr/

A lire également : Article et dépliant de la paroisse sur la célébration des funérailles

Nota Bene : une navette est mise en oeuvre par la mairie de Noisy-le-Roi, pour les personnes ayant des difficultés à se déplacer.

La prière pour les morts appartient à la plus ancienne tradition chrétienne.

C’est une prière par laquelle nous demandons que les défunts soient introduits dans la gloire de Dieu.

A chaque messe, l’Église prie pour ceux qui sont morts. Elle prie d’abord “pour tous ceux qui reposent dans le Christ“ et elle élargit sa prière “à tous les morts dont seul le Seigneur connaît la foi.“(Prière Eucharistique).

Depuis les origines, l’Église a le souci d’assurer aux défunts une sépulture digne, par respect du corps et en témoignage de l’espérance de la résurrection.

Le mot cimetière signifie « lieu de repos ».

La tombe avec sa croix rappelle cette espérance chrétienne.

La commémoration des défunts est l’occasion particulière pour les familles de prier pour leurs proches qui sont morts, en demandant au Seigneur de les accueillir et à Marie et à tous les saints de les accompagner. Ce jour-là, les familles vont souvent se recueillir sur les tombes de leurs proches et déposer des fleurs, signe de vie.

C’est un moment important pour faire mémoire de ceux qui nous ont quittés dans l’espérance de les rejoindre un jour auprès de Dieu.

Dans certains lieux, l’Église convie les familles touchées par le deuil au cours de l’année, à venir prier le 2 novembre. Les noms des défunts dont les obsèques ont été célébrées dans l’année, sont rappelés.

Prier pour les défunts, c’est croire en la promesse de la vie éternelle : « Moi, dit Jésus, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra » Jean 11,25

Lors d’un décès, une parole d’espérance de la part de l’Eglise est attendue, de la compassion de la part de la communauté. La proximité envers les familles endeuillées, leur accompagnement depuis l’annonce du décès jusqu’à la célébration des funérailles sont autant d’occasions d’en témoigner. Cette  « pastorale de la compassion », ce visage de la bonté de l’Eglise, permet à  bon nombre de rencontrer le visage de la bonté de Dieu.

C’est l’un des aspects que manifeste le mystère pascal : Dieu ne veut pas nous laisser seuls dans la peine et il chemine avec nous, nous accompagne dans la douleur.

Je suis avec lui dans son épreuve
Ps 90 .

«  Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie »
1 Jn 3,14.

La foi au Christ mort et ressuscité, le mystère pascal, est au centre de la mission de l’Eglise, et tout particulièrement dans la pastorale des funérailles.

La mort est un passage vers une nouvelle naissance, la vie en Dieu. C’est la raison pour laquelle le rituel des funérailles reprend entre autres les signes du baptême :

• La croix, premier geste tracé sur le front de baptisé pour exprimer son appartenance au peuple des croyants.
• Le cierge pascal, symbole de Jésus Christ ressuscité, Lumière du monde, source de notre espérance.
• Le livre de la Parole «  Ecoutez mes paroles et vous vivrez »
• L’eau qui rappelle le passage de la mort à la vie, dans le Christ.
• L’assemblée, l’Eglise par le signe de la présence de l’assemblée, exprime qu’
  elle est la famille des enfants de Dieu où le défunt a été accueilli le jour de son
  baptême et dont il fait partie jusqu’à la fin des temps.

L’équipe d’accompagnement des familles en deuil

Dépliant distribué dans les cimetières de Bailly et Noisy-le-Roi pour la Toussaint

Découvrez les actualités du groupe JMJ du diocèse de Versailles, sur le site consacré à l’événement !

http://www.jmj78.fr/

Le teaser :